Suite à la menace brandie par le Premier ministre, Manuel Valls d’interdire l’organisation de manifestations dans la ville de Paris, de nombreux partis politiques comme le Parti Communiste, EELV et le Parti de gauche dénoncent une « menace qui viole la démocratie ».
Ce mouvement de grogne est soutenu par dix partis politique de la gauche comme le PCF, le PG, et EELV. Ceux-ci ont publié un communiqué dans lequel, ils dénoncent l’interdiction possible d’organiser des manifestations contre la loi travail, considérant cela comme une « menace inadmissible pour la démocratie ». « C’est une première dans ce pays où un gouvernement veuille interdire une manifestation syndicale. Il s’agit ici, d’une annonce grave qui viole les libertés publiques.
Alors que rien ne légitimiste son intention, le gouvernement Sans légitimité populaire ni parlementaire pour imposer sa loi, le gouvernement aura utilisé plusieurs moyens comme l’instauration de l’état d’urgence, pour faire face aux mobilisations écologistes, sociales, forcer l’instauration de lois avec l’article 49.3 et il a utilisé la division, la répression pour essayer d’étrangler la manifestation. Et pour finir, il veut maintenant menacer d’interdire les manifestations » ce qui est inadmissible », dénoncent ces organisations.
Retrait de la loi travail
Suite aux violents dégâts commis par les manifestants lors du défilé qui s’est déroulé à Paris, le gouvernement a menacé d’interdire l’organisation de manifestations. Les partis politiques qui critiquent aussi les « attaques intolérables du gouvernement à l’endroit des syndicats et surtout la CGT ils « invitent à contester toute interdiction de manifestation et à s’organiser davantage en soutenant les syndicalistes lors des futures manifestations ».